Gabriel Cojoc : Il y a beaucoup de choses à penser, à calculer trois fois et à couper une fois, comme un tailleur habile, si vous voulez réussir ! Pour une entreprise en phase de démarrage, il faut très bien connaître le marché et avoir des fonds propres à investir. (INTERVIEW)
Gabriel Cojoc, un jeune entrepreneur de Bistrița-Năsăud passionné de meubles depuis l'enfance, a révélé le secret de son succès dans la production de meubles en aggloméré. Outre la passion, le temps investi et les sacrifices personnels, Gabriel Cojoc estime que le pragmatisme, des calculs et des estimations réalistes, ainsi que les fonds propres à investir sont des éléments fondamentaux pour le succès d'une entreprise créée par un jeune entrepreneur.La nation des start-up.
Points clés :
- Production : meubles et canapés en aggloméré standard et sur mesure
- Machines achetées par l'intermédiaire de Start-Up Nation :
→ Scie circulaire pourFelder K900 S table mobile formatage
→ Plaqueuse de chants Felder G480
→ 2 professionnelsexhauster Felder AF 22
- Critères de choix du fournisseur : rapport qualité-prix des machines à bois, garantie de 3 ans pour les machines et service dédié pour les clients en Roumanie
- Conseils et recommandations pour les futurs entrepreneurs : étudier très attentivement le marché au préalable, tenir compte des capitaux propres à investir, faire des estimations aussi précises que possible et des calculs aussi proches que possible de la réalité.
Comment êtes-vous arrivé dans ce domaine ? D'où vous est venue la passion du meuble ?
Gabriel Cojoc :La passion pour l'ameublement leur vient de leurs parents, qui avaient au départ une petite entreprise de tapisserie d'ameublement, avant de se concentrer sur la production de meubles en aggloméré. Mon premier contact avec la production de meubles remonte à mon enfance, vers l'âge de 12 ans, lorsque j'aidais mon père à fabriquer des canapés.
Que produit Rody Mob Lux ?
Gabriel Cojoc :Nous fabriquons des meubles en aggloméré, des meubles standard pour les magasins, des cuisines sur mesure, des salons, des dressings, des canapés, des meubles d'angle, bref, nous fabriquons tout ce que le client veut.
Quels ont été les problèmes rencontrés dans la gestion du programme Start-Up Nation ? Quels ont été les obstacles les plus importants que vous avez surmontés ?
Gabriel Cojoc :Le plus gros problème était le crédit bancaire qui dépendait de l'État, du fonds de contre-garantie. Cela prenait beaucoup de temps.
Sur quels critères avez-vous choisi le consultant et les fournisseurs du projet Start-Up Nation ?
Gabriel Cojoc :J'ai choisi le consultant du projet sur la recommandation d'un ami, avec qui il a été facile de travailler, d'autant plus qu'il est originaire de notre ville. En ce qui concerne le fournisseur des machines, j'ai choisi Felder Gruppe parce que je connaissais cette société depuis longtemps et que j'avais confiance en elle parce qu'il s'agit d'une société autrichienne. Nous avons étudié le marché et la chose la plus importante était qu'ils étaient sérieux. Sur les trois offres que nous avions dans le projetLa nation des start-upNous avons choisi Felder Gruppe Romania pour la qualité et le meilleur prix par rapport à la performance des machines. La garantie de 3 ans pour les machines et le service, qui est dédié aux clients en Roumanie, ont également pesé lourd dans la balance.
Qu'est-ce qui a le plus compté dans l'achat des machines ?
Gabriel Cojoc :Pour moi, c'est la qualité qui compte le plus. Tant la qualité de la machine elle-même, qui doit être construite avec de bons matériaux, être solide et fiable, que la qualité qu'elle m'apporte dans la production. En effet, il ne sert à rien d'avoir des prix bas si l'on n'offre pas la qualité. Deuxièmement, la facilité d'entretien et la facilité de trouver des pièces de rechange. Et troisièmement,service d'être rapide. Pour qu'en cas d'incident, car de telles situations existent, vous ne perdiez pas beaucoup de temps à réparer ou, pire, que vous ne deviez pas arrêter la production sans même savoir pour combien de temps. Tels sont mes critères. C'est pourquoi je travaille avec les équipements Felder et j'en suis très satisfait.
Quel est le secret de la réussite ?
Gabriel Cojoc :Le secret de la réussite, c'est le travail. Beaucoup de travail. Je travaille plus dur que les employés, j'arrive le premier et je pars le dernier. Le samedi et le dimanche, je suis sur le terrain, tous les jours je suis à l'usine, je prends moi-même les commandes. Il faut faire des sacrifices pour réussir.
Que conseilleriez-vous aux entrepreneurs en menuiserie suivants qui souhaitent ouvrir une entreprise par l'intermédiaire de Start-Up Nation ?
Gabriel Cojoc :Pour une entreprise Start-Up Nation, si vous ne connaissez pas le marché à l'avance et si vous n'avez pas de fonds propres à investir (parce que ce que l'État vous offre n'est pas toujours suffisant), il est très difficile de réussir. Je connais de nombreux cas de personnes qui ont essayé d'ouvrir une entreprise par l'intermédiaire de Start-Up Nation et qui n'ont pas réussi. Outre les conditions imposées par le programme de financement, qui sont difficiles à remplir, il y a de nombreux aspects auxquels il faut réfléchir, calculer trois fois et couper comme un tailleur habile si l'on veut réussir.
Si vous faites partie des futurs entrepreneurs qui souhaitent ouvrir une entreprise par l'intermédiaire de Start-Up Nation, découvrez ce que vous devez prendre en compte pour réussir, mais aussi quels ont été les premiers pas de Gabriel Cojoc dans l'industrie du meuble, en lisant l'intégralité de l'interview. ici.
L'interview de Gabriel Cojoc - Rody Mob Lux fait partie de la campagne Felder stories que vous pouvez lire. ici.
Bonne chance.
Je me demande si l'équipement d'un atelier de production de meubles de petite et moyenne taille - et non de bibelots artisanaux - exclusivement en bois massif est réalisable dans le cadre d'un financement de la Start Up Nation.